« Le silence devient un péché lorsqu'il prend la place qui revient à la protestation ; et, d'un homme, il fait alors un lâche. »
Histoire Né dans un petit village chinois, Ken pu jouir d'une vie simple, entouré d'une famille. Son quotidien ne rimait qu'à cultiver la terre, partir chasser avec son père et pêcher. Il chérissait chaque jour, dans ce petit village, chaque personne était considéré de la famille, on ne s’arrêtait pas au lien du sang. Malheureusement la seconde guerre mondiale mis fin à ce bonheur idyllique. Les forces de l'armée japonaise mirent à feu et à sang les petits villages de Chine, qu'ils aient ou non, des opinions contre le front germanique. Ce jour-là, peu furent épargner, les enfants eurent cette "chance". Les garçons au travail, les filles au bordel. La famille était détruite et leur coeur de Ken endurcit. Séparé de sa famille, il erra dans Shanghaï. Et à l'arrivée des 'ricains, ce ne fut pas mieux. Les "Libérateurs" avaient plutôt l'air de profiteur. Ken a 20 ans, sa vie ne rime à rien, aucune petite amie, aucun travail. Il pris pour habitude de manger dans une petite échoppe de rue tenu par un vieille homme assez gentil pour le laisser manger à l'oeil. Malheureusement, un nouvelle événement changea à nouveau Ken. Un soir, il entra comme à son habitude dans cette échoppe sauf que cette fois, trois gorilles saccageaient la salle, le vieille homme était au sol, le visage ensanglanté. Il ne réfléchit pas un instant à ce qu'il pourrait se passer, il bondit sur l'un des hommes, lui ravageant le nez, le suivant pris un coup de pied ravageur dans le ventre suivi d'un coup de genou dans son crâne, le dernier plus costaud, lui décocha une droite, Ken fut abasourdi, pourtant il continua de se battre. Il se batta poing pour poing contre le dernier. Il triompha mais ces gorilles n'étaient pas de quelconques gorilles, ils s'agissaient de membres d'un gang : Sun Wo On. Ce gang n'avait rien de titanesque mais il reste qu'il s'agit d'un gang, qui joue avec un gang, paie le prix... Heureusement pour lui, il n'avait rien à perdre. Le vieille homme le remercia de tout son être à genoux, les yeux en larmes. Ken le regarda, le sourire empli de tendresse. "Dorénavant, je protégerai cet endroit !" C'est étonnant à quel point, un seul instant dans une vie peut marquer un tournant au reste de notre vie, pour si peu qu'elle puisse t'être. A partir de maintenant, il lui arrivait de trouver de plus en plus de gansters s'amusant à extorquer de simple gens, un à un, il les corrigeait. Mais ces bêtes sont comme les cafards, tu en écrase un, et ils reviennent par milliers. Et il n'y a qu'un moyen pour se débarrasser de tel nuisibles, leur inspirer la peur. Et pour cela, il faut devenir un démon. La chasse est lancé. Ken se mit à traquer les membres, et il ne laissait qu'un message, "Cette ville n'est pas la votre". Étrangement, des hommes ont commencé à le suivre, certains étaient de simples hommes, d'autres des petits caïds et même certains gangsters de San Wo On. Petit à petit, un gang se formait derrière l'ombre de Ken. Bientôt toute la ville murmurait son nom. Pour les autorités, il s'agit d'un gangster, pour les citoyens, un gardien. Ken devint alors malgré lui, à la tête d'un gang. Le gang San Wo On craignait Ken et son gang. Mais San Wo On n'est pas le seul gang de la ville. La ville va bientôt vivre de sombres jours... La guerre des gangs. Les forces de l'ordre aux pattes graissées fermèrent les yeux sur les événements sanglants qui se déroulaient aux yeux de tous. Chaque jour était un nouvel enfer. Des dizaines hommes armés de couteau, et de batte en aluminium défilé à chaque rue. Des semaines acharnées, Ken et son gang tentèrent de protéger les citoyens comme il l'avait toujours fait mais la colère grandissait dans le coeur des hommes du gang, des camarades se faisaient planter pourtant Ken n'autorisa aucune vengeance ou expédition punitive. Des conflits internes eurent lieu, ceux loyal à Ken et le reste. Ken s'est occupé de cela lui-même. "Les hommes ont besoin de parler avec leur poing, quiconque conteste mes ordres, viendra régler ça." Ken "s'expliqua" avec chacun d'entre eux, certains essayèrent avec des armes mais aucun ne brisa sa volonté, il avait beau saigné, il ne flanchât pas. Après cela beaucoup quittèrent le gang, aussi bien ceux qui ont été battu, aussi bien les loyaux jugeant que pour quelqu'un aspirant à protéger se battre contre ses propres hommes était hypocrite. Plus le temps passe, plus les membres du gang quittèrent le gang, par peur ou d'une fin tragique. Ken perdit peu à peu le moral voyant tant de misère, il n'avait jamais souhaité ça, il déambula dans les rues sans but, et par hasard il tomba sur ce vieille homme, celui dont il a sauvé la vie, il lui sourit. Il s'approcha de lui, se rappelant ainsi pourquoi il en ait arrivé, un sentiment de fierté l'emplit à nouveau ! Mais avant de pouvoir lui dire un mot, il le vit pleurer. "Pardon.." Une lame transperça les entrailles de Ken. Le moment fut bref mais à la fois tellement long, le moment où un homme perdit sa volonté. Le vieille homme tremblait de tout son être et les larmes arretaient pas de couler le long de ses joues. Il murmura à l'oreille de Ken. Pardonne-moi Ken.. Ils m'ont promis qu'il ne toucheront pas à ma famille, c'est toute ma vie.. Pardonne-moi" Puis pris la fuite. Ken fini par agoniser quelques dizaines de minutes plus tard, seul et désespéré comme il l'avait toujours été. Tout le temps de son agonie, il pensait à ce qu'il allait arriver, deviendra-t-il un fantome ? Ira-t-il au paradis ? Surement pas, un gangster qui se bat comme il respire, ne pas rêver le paradis... Après sa mort, il repris ses esprits dans une grande salle d'un blanc immaculé, vide à l'exception d'un homme et d'une balance. Derrière eux, trois portes, il se demandait se qu'elle pouvait ouvrir, l'une à droite dégagé comme une aura malsaine, il comprit vite que c'est les enfers et surement la dernier porte qu'il ouvrira... Il s'approcha pour prendre cette porte mais le passeur l'arreta et le fit signe d'aller vers la balance. Il se mit dessus et son torse s'illumina ! Il fut surpris mais à la fois, il senti comme une sérénité, un calme apaisant comme le baiser d'une femme. L'homme lui pointa la porte avec un halo de lumière, les autres disparurent devant lui, il s'avança de la porte, lentement. L'anxiété le fit trembler comme une feuille. Il empoigna la poignée de cette porte, et l'ouvrit. Une lumière éblouissante l'aveugla quelque instant. Il se retrouva dans une ville magnifique et le plus surprenant fut cette paire d'aile dans le dos. "Vous devez vous foutre de moi !"
| Mentalité ▬ T'aime quoi ? Les bons plats, les moments passées à s'amuser qui rime quelque fois avec beuverie, la danse avec une préférence pour des danses vintages, un peu salsa, et du rock acrobatique ▬ T'aimes pas quoi ?Le prolétariat, non les prolétaires en soit mais le fait d'exploiter autrui ouvertement sur quelque critère social, familiale ou encore physique. ▬ Tes qualités :Protecteur, Persévérant, Ouvert d'esprit, Social. Dans l'ensemble il est un très bon compagnon. ▬ Tes défauts :Honnête, si quelque chose ne semble pas bon pour lui, il n'hésite pas une seule seconde à dire le fond de sa pensée, sans pensée à mal, mais ça s’avère quelque fois blessant. |